La tisseuse de vents - Nina Lan

 

Auteur : Nina Lan

Éditeur : Éditions Didier Jeunesse

 

Genre : Fantasy / Jeunesse

 

Nbre de pages : 401

Date de sortie : 15 mai 2024

 

Prix : 15,99 € 

 

Résumé 

 

Tisseuse de liens, Éloë recueille les vents magiques dans l’un des moulins de sa région. Sa soudaine convocation à la cérémonie du Privilège, un rêve pour beaucoup de Talentueux, est un déchirement pour elle. Comment mettre ses pouvoirs au service du royaume si cela implique d’abandonner Myrtil, son meilleur ami, tombé gravement malade ?
Éloë ne voit qu’une solution : trouver un Soigneur et le convaincre de secourir Myrtil, malgré l’interdiction de quitter le château. Mais son bienfaiteur s’avère être le prince Teren lui-même, et le prix de son aide, beaucoup trop élevé…
Entre ce pacte imprudent et la progression de la maladie dans le pays, Éloë va devoir puiser dans les racines de sa magie pour tirer son épingle du jeu, au risque de se retrouver prise au piège d’une bien sombre toile.

 

Avis 

 

Une belle découverte pour moi quand je l'ai vue dans le rayon des livres, c'est tout d'abord la couverture qui est magnifique m'a attiré. 

 

La particularité de cet univers et qui en fait sa force est sur son système de magie basé sur les vents.

 

On découvre Éloë, l'héroïne de ce roman, une adolescente qui a comme pouvoir de tisser de liens, un pouvoir donc invisible mais qui peut être fastidieux à le maîtriser et à le comprendre pour l'utiliser à plein potentiel. Elle a grandit au moulin après avoir été abandonnée par sa mère quelques jours après sa naissance. Elle a donc été exposé par les vents magiques, plus que n'importe qui. Elle va finir par accompagnée sa meilleure amie au cérémonie du Privilège. C'est une héroïne attachante et qui a un bon coeur même si par moment elle peut se montrer naïve mais elle peut se montrer têtue en allant jusqu'au bout de son idée. 

J'ai beaucoup aimé ce livre fantasy où on se plonge facilement dans cet univers, c'est bien rythmé tout au long bien que ça se ralentit vers la fin, ce qui donne comme sensation que ça se rallonge inutilement, comme si on n'en voyait pas le bout.